Avant que ce joli moment ne s'estompe dans nos mémoires, et pour mettre un peu de soleil dans la grisaille qui nous envahit déjà…
En sortant du palais nous avons rejoint les jardins. Là encore, nous n'avons pas tout vu : le théâtre et autres pavillons proches du Petit Trianon étaient fermés – de toute façon on ne peut que se tenir à l'entrée de ces édifices, pas y pénétrer. La promenade s'est poursuivie avec une visite du hameau de la Reine.
Le moulin, qui n'a jamais rien moulu…
La maison de la Reine. La patine de ces façades a été conçue en trompe-l'œil, mais l'intérieur avait été aménagé avec le même raffinement que le château.
Merveilleux jardins, qui allient l'utile à l'agréable. J'avoue ne pas avoir retenu les noms et fonctions de tous ces bâtiments. Cela n'avait pas grande importance pour notre promenade. Peut-être y accorderons-nous plus d'attention une prochaine fois, mais on ne peut pas les visiter non plus.
Les abords de la ferme pédagogique.
Vue de l'autre côté.
Ces Jeannot-là ne finiront pas en civet…
Le monsieur était en pleine opération de séduction. Impossible d'obtenir une photo correcte, d'autant que le poulailler est aussi grillagé par-dessus.
Des vignes ont été plantées il y a une petite dizaine d'années. J'ai lu je ne sais plus où que l'initiative était controversée – le vin obtenu dans les premiers temps n'était pas fameux et la production en a rapidement été abandonnée. Je n'y connais pas grand-chose en jardinage-culture, mais j'aime bien l'idée de celles-ci, même si Marie-Antoinette ne buvait que de l'eau – qu'elle faisait venir de Ville-d'Avray – et du lait.
En plus des animaux de la ferme pédagogique on trouve à Trianon une faune assez variée, pas farouche pour un sou. Ici, un ragondin, au-dessus, un cygne.
Il est assez rigolo d'observer carpes et brochets se précipiter à la surface de l'eau pour saluer les passants – et peut-être espérer grappiller quelques choses à manger.
Je suis toujours étonnée du comportement de certains…
Des expos temporaires étaient annoncées aux grilles du château de Versailles mais nous n'avons pas trouvé le temps ou l'énergie d'y retourner (quatre heures de trajet aller-retour par les transports en commun, tout de même). Certaines sont terminées depuis notre visite. Celle-ci, consacrée aux dames de Trianon, est encore d'actualité, mais ne semble pas faire l'unanimité.
Et puis, en repartant, comme un dernier clin d'œil, imaginer le bruit des sabots et carrosses sur les pavés à chaque traversée du parvis…
En sortant du palais nous avons rejoint les jardins. Là encore, nous n'avons pas tout vu : le théâtre et autres pavillons proches du Petit Trianon étaient fermés – de toute façon on ne peut que se tenir à l'entrée de ces édifices, pas y pénétrer. La promenade s'est poursuivie avec une visite du hameau de la Reine.
L'arrivée au hameau, avec un aperçu de la tour de Marlborough.
Vue d'ensemble (clic pour agrandir la photo).
Vue d'ensemble (clic pour agrandir la photo).
Le moulin, qui n'a jamais rien moulu…
La maison de la Reine. La patine de ces façades a été conçue en trompe-l'œil, mais l'intérieur avait été aménagé avec le même raffinement que le château.
Peut-être, un jour, aurai-je une maison… Et même qu'elle sera ornée d'une glycine (et d'une marquise sur le perron).
Merveilleux jardins, qui allient l'utile à l'agréable. J'avoue ne pas avoir retenu les noms et fonctions de tous ces bâtiments. Cela n'avait pas grande importance pour notre promenade. Peut-être y accorderons-nous plus d'attention une prochaine fois, mais on ne peut pas les visiter non plus.
Les abords de la ferme pédagogique.
Vue de l'autre côté.
La visite lui a tant plu qu'elle y est retournée avec grand-mère et cousine la semaine suivante…
Ces Jeannot-là ne finiront pas en civet…
Le monsieur était en pleine opération de séduction. Impossible d'obtenir une photo correcte, d'autant que le poulailler est aussi grillagé par-dessus.
Des vignes ont été plantées il y a une petite dizaine d'années. J'ai lu je ne sais plus où que l'initiative était controversée – le vin obtenu dans les premiers temps n'était pas fameux et la production en a rapidement été abandonnée. Je n'y connais pas grand-chose en jardinage-culture, mais j'aime bien l'idée de celles-ci, même si Marie-Antoinette ne buvait que de l'eau – qu'elle faisait venir de Ville-d'Avray – et du lait.
J'avais le souvenir de plein de rhododendrons la dernière fois que je m'étais promenée du côté du hameau. Je suppose qu'ils n'ont pas résisté à la tempête de décembre 1999 car je n'en ai pas vu cette fois-ci. Les jardins de Versailles n'ont pas encore pansé toutes leurs plaies.
En plus des animaux de la ferme pédagogique on trouve à Trianon une faune assez variée, pas farouche pour un sou. Ici, un ragondin, au-dessus, un cygne.
Il est assez rigolo d'observer carpes et brochets se précipiter à la surface de l'eau pour saluer les passants – et peut-être espérer grappiller quelques choses à manger.
Je suis toujours étonnée du comportement de certains…
Des expos temporaires étaient annoncées aux grilles du château de Versailles mais nous n'avons pas trouvé le temps ou l'énergie d'y retourner (quatre heures de trajet aller-retour par les transports en commun, tout de même). Certaines sont terminées depuis notre visite. Celle-ci, consacrée aux dames de Trianon, est encore d'actualité, mais ne semble pas faire l'unanimité.
Et puis, en repartant, comme un dernier clin d'œil, imaginer le bruit des sabots et carrosses sur les pavés à chaque traversée du parvis…
… avant de regagner l'allée centrale pour ne pas se tordre les chevilles…
Ah ! Tes photos subliment cette visite ! Souvenirs évoqués ainsi, merci !
RépondreSupprimerQuant aux lapins, je l'espère...
Ailleurs, j'ai découvert que des lapins visibles de mars à novembre terminaient comme "cadeau de Noël" sous forme de pâté... :((((
Merci Isa, tu me fais rougir !
RépondreSupprimerZut pour les lapins : nous avons assisté à leur mise à l'abri du soir et j'en avais profité pour poser la question aux jeunes gens qui s'en chargeaient. Ils m'avaient répondu qu'ils mouraient de leur belle mort…