La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler, faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue, une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie, la vie à se partager.
Paul Éluard
Et mis en musique par Julos…
J'ai lu qu'il s'agissait d'un poème de deuil, je le trouve plutôt porteur d'espoir.
C'est magnifique !
RépondreSupprimerc'est peut être un message d'espoir pour l'après.
Bon après midi, bises.
Bien sûr chacun comprend ce texte selon ses convictions… J'y lis qu'aussi désespérée que puisse paraître la situation les choses peuvent s'améliorer.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Peut-être est-ce le refus de ne voir le deuil que comme quelque chose de négatif... Dur à dire, et à ne pas dire n'importe quand ni à n'importe qui... Mais Eluard le dit toujours bien, c'est le pouvoir de la poésie.
RépondreSupprimerOui, peut-être est-ce ainsi que Julos l'a perçu…
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=jqLp3THlSfw