Nouveaux locaux, nouvelles règles, nouvelle classe, nouveaux enseignants et, bientôt, de nouveaux camarades. C'est tout de même avec de l'appréhension que la douce s'est rendue dans son nouveau collège mercredi dernier. Nous avons finalement opté pour le collège public, part d'une cité scolaire qui accueille des classes allant de la 6e aux prépas. Le seul collège accueille 450 élèves cette année (quand le précédent en accueille plus de 700), qui disposent d'une cour de récré pour eux seuls. Les enfants ont une salle de cours principale et n'ont ainsi à se déplacer que pour ceux qui se déroulent dans des salles spécifiques.
Tous les profs n'étaient pas encore là – et ne le sont toujours pas –, nos demandes au moment de l'inscription n'avaient pas toutes été prises en compte – ç'a été rectifié depuis – mais dès le premier jour nous avions pas mal de renseignements et deux réunions d'information – une avec l'équipe pédagogique, l'autre avec la fédération de parents d'élèves – étaient d'ores et déjà programmées pour cette semaine.
Les parents d'élèves publient un journal dont je ne connais pas la périodicité mais dont le numéro de septembre nous a été remis jeudi, qui présente l'association, liste les rendez-vous du premier demi-trimestre ainsi que la totalité des réunions mensuelles de l'année scolaire, comprend un «Dico des parents», explique les étapes de la scolarité au secondaire et l'accueil des élèves de 6e. Une organisation qui semble bien rodée…
La douce nous a raconté qu'on ne se bouscule pas dans les couloirs et que les cours comme les permanences sont calmes. La prof principale est la prof de sport, qui a détaillé le programme de cette année dans sa discipline. Elle a également transmis un mot dans le carnet de liaison comprenant son adresse électronique pour qu'on puisse la contacter facilement en cas de besoin.
À la fin de l'année dernière on avait signifié aux élèves qui suivaient le cursus bilangue qu'il était inutile pour eux de s'inscrire en section européenne puisqu'ils avaient déjà opté pour la section bilangue, mais j'ai découvert par la suite que tous les établissements ne fonctionnent pas de la sorte. Dans le nouveau collège tous les enfants souhaitant aller en 4e européenne passent un examen en fin de 5e. Nous avons demandé un rendez-vous à la principale adjointe pour que la douce puisse intégrer ce cursus. Si cela s'avère impossible cette année elle pourra toujours le faire en entrant au lycée.
Tous les profs n'étaient pas encore là – et ne le sont toujours pas –, nos demandes au moment de l'inscription n'avaient pas toutes été prises en compte – ç'a été rectifié depuis – mais dès le premier jour nous avions pas mal de renseignements et deux réunions d'information – une avec l'équipe pédagogique, l'autre avec la fédération de parents d'élèves – étaient d'ores et déjà programmées pour cette semaine.
Les parents d'élèves publient un journal dont je ne connais pas la périodicité mais dont le numéro de septembre nous a été remis jeudi, qui présente l'association, liste les rendez-vous du premier demi-trimestre ainsi que la totalité des réunions mensuelles de l'année scolaire, comprend un «Dico des parents», explique les étapes de la scolarité au secondaire et l'accueil des élèves de 6e. Une organisation qui semble bien rodée…
La douce nous a raconté qu'on ne se bouscule pas dans les couloirs et que les cours comme les permanences sont calmes. La prof principale est la prof de sport, qui a détaillé le programme de cette année dans sa discipline. Elle a également transmis un mot dans le carnet de liaison comprenant son adresse électronique pour qu'on puisse la contacter facilement en cas de besoin.
À la fin de l'année dernière on avait signifié aux élèves qui suivaient le cursus bilangue qu'il était inutile pour eux de s'inscrire en section européenne puisqu'ils avaient déjà opté pour la section bilangue, mais j'ai découvert par la suite que tous les établissements ne fonctionnent pas de la sorte. Dans le nouveau collège tous les enfants souhaitant aller en 4e européenne passent un examen en fin de 5e. Nous avons demandé un rendez-vous à la principale adjointe pour que la douce puisse intégrer ce cursus. Si cela s'avère impossible cette année elle pourra toujours le faire en entrant au lycée.
Voilà qui semble plus ressembler à ce que je connais du collège...
RépondreSupprimerJe retiens tout particulièrement la salle de cours principale. Un point d'ancrage. Le nomadisme dans le collège précédent avait peut-être son rôle à jouer dans les bousculades et le manque de calme.
RépondreSupprimerDe quelle durée est le trajet de la douce pour s'y rendre et en revenir ?
En fait elle a deux salles principales, mais elles sont voisines et au rez-de-chaussée.
RépondreSupprimerElle peut s'y rendre de deux façons : en bus (c'est direct) ou en métro (c'est à seulement trois stations mais il y a une correspondance).
Concernant le nomadisme il y avait peut-être de cela mais aussi je pense un contexte socio-culturel qui est complètement différent.
Dans le nouveau collège j'ai vu une vraie mixité alors que dans le précédent elle était représentée par les gens comme M., qui relevait le niveau avec ses bons résultats et ne faisait parler d'elle qu'en bien, et les gens comme moi qui s'impliqu(aie)nt dans la vie de l'établissement.
Les enfants d'origine indo-européenne sont minoritaires dans l'ancien collège, ce qui n'est pas le cas dans le nouveau d'après ce que j'ai pu voir…
C'est bien pour M... Elle doit respirer. Est-ce HB ce havre de paix ?
RépondreSupprimerMa grande est entrée en CM1, on commence à s'interroger.
Des bises.
@ La maîtresse : havre de paix, je ne sais pas, tout est relatif, s'pas, surtout avec une population en pleine métamorphose :-) Ce n'est pas HB car il n'y a pas de section bilangue espagnol là-bas. Le nombre d'établissements qui proposent l'espagnol en section bilangue est plutôt restreint. Celui-ci est près du Père-Lachaise (percée). Et toi, es-tu contente de ta rentrée ?
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