Le Délit Maille a fait son apparition fin mai 2011 avec l'affaire DSK et décortique depuis l'actualité au point de jersey et aux aiguilles 2. Quel que soit le sujet abordé il l'est toujours avec délicatesse et lucidité ; avec humour si la situation s'y prête.
Un livre est né de ses chroniques fin 2012 puis, en 2013, un passage à L'Aiguille en fête à Paris, une session de rattrapage à Roubaix, suivie de deux autres expos, toujours à Roubaix, dont la dernière a pris fin en janvier.
L'expo de la Piscine, le musée d'Art et d'Industrie de Roubaix, pas encore achevée, les dirigeants du musée ont pensé que pour les commémorations de la Première Guerre mondiale ils lui céderaient bien deux espaces pour ses «gens en laine», comme elle les appelle. Elle a commencé par refuser la proposition devant l'ampleur de la tâche avant de se laisser séduire par l'idée. Elle a dans un premier temps songé à arrêter le blogue pour pouvoir se consacrer au projet puis, de cogitations en cogitations, a appelé son lectorat à s'enrôler – l'idée de départ étant que des tricoteurs de tous les pays répondent à l'appel, puisque cette guerre-là avait été mondiale. L'appel a été entendu, au-delà des espérances de la tricoteuse masquée, et nous serons une armée internationale à tricoter qui des vareuses, qui des musettes, qui des casques pour «la première guerre très belle», afin que l'autre ne tombe pas dans l'oubli. Chaque pelote représente une dizaine d'heures de travail, et nous avons jusqu'à la fin de l'année pour renvoyer nos pièces détachées. Pour partager nos motivations comme nos difficultés ou même se donner rendez-vous, histoire de ne pas rester chacun dans son coin, un groupe a été créé sur Ravelry, et un autre dans le Livre des visages.
Une pelote est arrivée cette semaine, que j'aurai à transformer en pantalons. Maintenant yapluka, le temps de remettre de l'ordre dans l'appartement après une semaine de réaménagements intenses et de boucler un encours.
Un livre est né de ses chroniques fin 2012 puis, en 2013, un passage à L'Aiguille en fête à Paris, une session de rattrapage à Roubaix, suivie de deux autres expos, toujours à Roubaix, dont la dernière a pris fin en janvier.
L'expo de la Piscine, le musée d'Art et d'Industrie de Roubaix, pas encore achevée, les dirigeants du musée ont pensé que pour les commémorations de la Première Guerre mondiale ils lui céderaient bien deux espaces pour ses «gens en laine», comme elle les appelle. Elle a commencé par refuser la proposition devant l'ampleur de la tâche avant de se laisser séduire par l'idée. Elle a dans un premier temps songé à arrêter le blogue pour pouvoir se consacrer au projet puis, de cogitations en cogitations, a appelé son lectorat à s'enrôler – l'idée de départ étant que des tricoteurs de tous les pays répondent à l'appel, puisque cette guerre-là avait été mondiale. L'appel a été entendu, au-delà des espérances de la tricoteuse masquée, et nous serons une armée internationale à tricoter qui des vareuses, qui des musettes, qui des casques pour «la première guerre très belle», afin que l'autre ne tombe pas dans l'oubli. Chaque pelote représente une dizaine d'heures de travail, et nous avons jusqu'à la fin de l'année pour renvoyer nos pièces détachées. Pour partager nos motivations comme nos difficultés ou même se donner rendez-vous, histoire de ne pas rester chacun dans son coin, un groupe a été créé sur Ravelry, et un autre dans le Livre des visages.
Une pelote est arrivée cette semaine, que j'aurai à transformer en pantalons. Maintenant yapluka, le temps de remettre de l'ordre dans l'appartement après une semaine de réaménagements intenses et de boucler un encours.
3 commentaires:
Fan du projet (je suis Delit Maille sur Twitter depuis très longtemps) mais les aiguilles 2, ouloulou ça fait peur!!
Oh ça devrait aller, chaque pièce est toute petite…
Ils sont excellentissimes en terme d'imagination,de recherche et de mise en scène.
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