Les matins avaient une luminosité toute particulière, cette année, peut-être due au champ de tournesols voisin… Mes médiocres photos ne permettent pas de s'en rendre compte mais il semblait fluorescent.
vendredi 30 août 2013
mercredi 28 août 2013
De fil en aiguille
ll y a d'abord eu cette chanson, découverte chez Coline.
Puis sa reprise, par Joan Baez et Maxime Le Forestier.
Et ensuite, d'une flânerie à l'autre, cette chanson-ci…
… et puis celle-là, en 1973. Victor Jara était-il encore vivant ? Je n'ai pas trouvé la date exacte du concert.
J'imagine l'émotion à reprendre ce gospel transformé en chanson de lutte à Prague, au côté de Václav Havel.
Toujours en flânant, cette chanson qui remercie la vie, écrite par celle qui, finalement, préféra la quitter, un an après l'avoir écrite.
Une interprétation un peu trop éloignée à mon goût de l'original mais, justement, il est bien de pouvoir comparer.
Monsieur Guy lui avait d'ailleurs consacré un billet il y a moins d'un an… Et puis, pour conclure, cette chanson…
vendredi 23 août 2013
Tisane
« Le mois d'août est le meilleur moment pour récolter. Cueillez du thym arctique, de la potentille, de la dryade à huit pétales, de l'achillée millefeuille ou de l'alchémille commune. Faites sécher. Commencez par faire pré-sécher dans une taie d'oreiller bien propre avant d'étaler sur un plateau pour le séchage définitif. Faites bouillir un litre d'eau dans une casserole, retirez-la du feu et jetez-y une poignée de feuilles séchées (deux cuillères à soupe si elles sont broyées). Couvrez la casserole et laissez infuser 15 minutes. On peut réchauffer la tisane plusieurs fois mais sans faire bouillir. Se renseigner sur les vertus de chaque plante (contre les maux de gorge, de ventre, ou les peines de cœur). Ajustez les proportions. »
L'Embellie
Auður Ava Ólafsdóttir
Traduit de l'islandais par
Catherine Eyjólfsson
Zulma
Auður Ava Ólafsdóttir
Traduit de l'islandais par
Catherine Eyjólfsson
Zulma
mercredi 7 août 2013
Au milieu de nulle part, ou presque
Lorsqu'en été vient le moment de s'y rendre, c'est à peu près toujours au mois d'août que nous partons retrouver la maison du verger, là où le temps ne semble pas avoir de prise.
Selon un rituel immuable mon beau-père nous attendra à la gare, puis le grand chêne saluera notre arrivée et la douce reprendra ses habitudes de là-bas sans aucun besoin d'adaptation. Peut-être y retrouvera-t-elle une cousine ou une petite voisine. De toute façon nous ne prévoyons jamais rien de précis lorsque nous y allons, pas même la date du retour.
Pas de piscine, là-bas, mais l'immense jardin, le jet d'arrosage du potager…
… et le saule pleureur sous lequel ont été installés table et transats.
Encore mieux qu'une cabane !
À bientôt…
Photos de l'été 2010, prises par ma manman,
venue avec nous cette fois-là.
venue avec nous cette fois-là.
mardi 6 août 2013
Se souvenir des belles choses
Le thème du jour était, vous l'aurez compris, l'amoûûûûûr…
lundi 5 août 2013
À quelques kilomètres de Montréal aussi on trouve de la Banette. C'est cliché de dire que la France est très présente là-bas (livres, fromages, vins, etc.) mais je ne m'attendais vraiment pas à y voir ce logo…
jeudi 1 août 2013
« Charly longe les immeubles d'habitation. Ce sont des maisons à trois étages, aux façades bardées d'escaliers métalliques et trouées de portes surmontées chacune d'un numéro – chaque bâtiment héberge six à huit appartements. » p. 19
Photos piquées à La Gazette des Biquets.
« — On avait convenu que je donnerais le premier loyer à mon arrivée…
Malvina fait un geste de la main.
— Ça peut attendre. Vous donnerez ça à Julie ou à Owen.
— Vous êtes sûre ?
— Oui, oui, c'est correct.
Charly sourit. L'expression le surprend, comme l'a surpris d'entendre, depuis son arrivée à l'aéroport, les douaniers, le chauffeur de taxi ou la boulangère répondre “Bienvenue” ou “Ça me fait plaisir” quand il leur a dit “Merci”. » pp. 23-24
Les Invisibles
Martin Winckler
Fleuve noir
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