«Récit silencieux et dérisoire de neuf millions de vies minuscules broyées» : l'exposition d'Anna, notre exposition, a ouvert ses portes samedi à Roubaix. Je n'ai pas pu m'y rendre mais deux des mille mains à avoir participé au projet ont eu la bonne idée de ce partage. Il n'y a eu ni flonflons ni vernissage mais ceux qui le pouvaient se sont retrouvés là-bas pour voir en grand ce qu'on avait pu apercevoir lors de nos Woolstock et passer un moment ensemble. Grégoire Marchal a de son côté réalisé un album photo de l'événement.
2 commentaires:
Très très beau texte, ce billet d'Anna auquel le lien renvoie.
Je ne suis pas convaincue que les armées ne meurent que pour les industriels, elles meurent aussi, à grands cris, pour des dieux qui n'existent pas. Ces morts ne sont ni plus ni moins dérisoires.
Celle-ci a bien enrichi les industriels, en tout cas. En règle générale les guerres sont toujours menées pour des histoires de gros sous, de toutes façon. Même les croisades avaient avant tout un intérêt économique. Les religions ne sont là que pour la façade…
Je n'ai pas eu le temps de réactualiser mon billet mais il y a des récits de la journée là :
http://marsupilamima.blogspot.fr/2014/12/les-gens-en-laine-le-centenaire-14-18.html
http://petitesittelle.wordpress.com/2014/12/07/multitude-une-belle-aventure-humaine/
https://storify.com/Agia31/woolwardday?utm_campaign=website&utm_source=email&utm_medium=email
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