vendredi 29 novembre 2013

Inventaire

  • Fonds de caisse
  • Facturier
  • Lampadaire
  • Rallonge électrique
  • Draps pour couvrir les tables de vente
  • Étoiles en origami pour la déco
  • Raphia
  • Papier de soie de couleurs variées
  • Papier bulle
  • Ficelle
  • Ruban adhésif
  • Étiquettes pour les prix 
  • Cartes de visite
  • Pinces à linge
  • Épingles
  • Bouteilles isothermes
  • Thés, tisanes, soupes lyophilisées pour le cas où ça pincerait trop
  • Tasse pour boire tout ça
  • Essuie-tout
  • Pommes à partager avec les voisines
  • Assiette creuse et couverts pour la Disco Soupe
  • Chaussettes supplémentaires et étole en laine car pas de radiateurs ; il y en avait l'an dernier, qui ont régulièrement fait sauter les plombs
  • Bottines fourrées
  • Bouillotte
  • Bougies
  • Trousses et étuis de toutes sortes – une bonne cinquantaine, mine de rien
  • Colifichets
  • Barrettes
  • Quelques semaines de préparation
  • Quelques heures sommeil en retard
  • Quelques heures de rangement à venir
  • Pas de raton-laveur


Souhaitez-moi bonne chance…

samedi 23 novembre 2013

Confiture de tomates vertes

Avec 1,5 kg de tomates vertes :
- 800 g de sucre de canne
- 4 bâtons de cannelle
- le jus d'un demi-citron
- 1 ou 2 oranges, selon que l'on apprécie plus ou moins l'amertume de l'écorce, bio de préférence

Débiter les tomates en petits morceaux dans une marmite et ajouter le sucre, la cannelle, le jus de citron et la ou les oranges, découpées en rondelles, avec leur écorce. Laisser mariner une nuit (douze heures au minimum). Le lendemain, faire cuire le tout durant deux bonnes heures à feu doux, sans couvrir. Verser dans des bocaux puis les retourner pour créer un vide. Laisser les bocaux refroidir ainsi avant de les ranger…


mercredi 20 novembre 2013

Aperçu

Ça, c'est prêt.

Trousses de peintre de l'année...
 
 Même plus peur des fermetures Éclair… 
Prochain obstacle à surmonter : la pose de passepoil.

Ça, ça l'est presque.

Trois autres sont réservées ou déjà parties.

Le tout s'ajoutera à ce qui reste de l'an dernier. J'y retourne, moins de dix jours me séparent de l'heure H du jour J et j'ai bien sûr plein de projets en tête… Je n'ai aucune idée de la quantité d'objets à préparer, encore moins de ce qui partira ou pas. Je sais juste que celles qui ont participé à la vente de l'an dernier ont passé un bon moment mais n'ont pas fait exploser leur chiffre d'affaire.


J'ai beau régulièrement ranger, trier par teintes, motifs, types de toiles, le salon ressemble à pas grand-chose…

En juin dernier j'avais acheté un pain de cire d'abeille, pensant le transformer en bougies à l'occasion. Un apiculteur est également passé à l'amap récemment, à qui j'ai acheté quelques plaques de cire alvéolée. Je ne sais pas encore si les bougies que la douce et moi en avons tiré serviront juste de décor ou si je les proposerai à la vente. En attendant nous avons passé  un agréable moment à les fabriquer.


Les sapins de l'arrière-plan sont réservés, restent les rosaces et celles que l'on entrevoit à main gauche, coulées dans des moules à cupcakes en silicone et parfumées à différentes huiles essentielles.


jeudi 14 novembre 2013

Préparatifs

Pour clore le mois de l'économie sociale et solidaire les mairies des 11e et 20e arrondissements organisent un marché qui se déroulera sur le terre-plein du boulevard de Belleville  (M° Ménilmontant) le 30 novembre prochain, de 10h00 à 18h00. Coopaname, en tant que société coopérative ouvrière de production, y bénéficie de quelques places. Je m'y suis inscrite pour proposer mes cousettes et brimborions.

Mois de l'économie sociale et solidaire dans le 20e
Entreprendre, produire et consommer autrement




Durant tout le mois de novembre, des acteurs de l'économie sociale et solidaire du 20e vous attendent pour échanger et répondre à toutes vos questions au cours de rencontres fondées sur des dialogues conviviaux, des balades et des projections-débats.
Une occasion de découvrir une activité économique aux multiples visages, qui concilie démocratie, innovation et développement durable.
Pour connaître le programme complet du mois de l'ESS dans le 20e, cliquez ici.
Pour télécharger le dépliant, cliquez ici.

Puis, comme l'an dernier, je participerai au marché de Noël qu'organise Coopaname dans ses locaux. Il se tiendra le 12 décembre cette fois-ci.
Au plaisir de rencontrer certains d'entre vous ?

mercredi 13 novembre 2013

Pénélope

Commencé en août, ce gilet a été défait une première fois alors que je m'apprêtais à retourner à la maison du verger. Je l'ai recommencé là-bas durant les jours qui ont suivi puis l'ai mis en attente, faute de laine, le temps de terminer le précédent et d'aller chercher d'autres pelotes chez ma dealeuse car la Demoiselle le voulait plus long, corps et manches, que je n'avais prévu. Je l'ai de nouveau défait car il lui était trop large. Repris une troisième fois il a bien été avancé durant ma pause forcée du mois dernier. Si le corps n'a pas posé de problème j'avoue que la manche gauche a été tricotée à quatre reprises : le résultat du magic loop ne m'a pas satisfaite les deux premières fois. Peut-être en raison de la longueur du câble, et aussi de sa rigidité, j'ai paradoxalement trouvé cette façon de procéder longue, fastidieuse et grosse consommatrice de fil. L'ouvrage tendait en outre à s'entortiller autour du fil. Mon modèle préféré n'étant pas toujours là pour les essayages, elle était trop courte d'environ deux centimètres à la troisième reprise, montée en allers-retours, et j'ai dû en défaire une partie pour la rallonger. Cette quatrième tentative a été la bonne. La manche droite n'a pas posé de problème.

 Modèle top-down, inspiré de toutes les explications que l'on peut trouver à droite et à gauche. Merci à toutes les partageuses…

À les voir fleurir depuis un moment sur la Toile et à lire les mérites de cette façon de procéder, je me suis donc à mon tour lancée dans le tricotage d'un gilet top-down (komydisent). J'appréhendais les rangs de plusieurs centaines de mailles quand on arrive à  la fin des augmentations des manches et, effectivement, c'est looooooooooong sur le moment mais ça reste finalement assez rapide à monter et les rangs suivants viennent tout seuls après ça (ce qui ne signifie pas que je sois tout à fait prête psychologiquement pour me lancer dans un châle à 600 mailles !).
Avantage non négligeable de cette façon de procéder : il suffira  je crois d'ajouter quelques augmentations au raglan du  modèle pour l'élargir, autant dire que je pense récidiver…

mercredi 6 novembre 2013

(r)accords parfaits

… ou presque. Tout juste sortie des griffes de la machine à coudre, pas encore apprêtée…


Toile et fermeture à glissière issues de différents glanages.


Doublure taillée dans un vieux drap en lin ou en métis, avec des poches de chaque côté pour facilement retrouver crayons de maquillage ou petits stylos, poudrier ou chargeur et cordon, ou encore taille-crayons.


Trousse taillée dans une chute de coton enduit de PVC sans phtalates trouvé à l'atelier de Linna Morata, à Montreuil, et doublée avec un autre drap ancien, cette fois-ci sans compartiments intérieurs.

C'est juste une illusion…

Ça ne marche malheureusement pas à tous les coups. Ces portées peuvent avoir l'air droit, elles n'ont pas la chanson…

Elle était facile mais je n'ai pas résisté…


J'ai eu beau biaiser, tenter de tricher, rien à faire.

vendredi 1 novembre 2013

Bis repetita

Ce sac de couchage-là approche la trentaine. Il avait été offert à ma sœur pendant mon séjour américain ou peu après mon retour.


J'ai toujours aimé me lover dedans ou me glisser dessous. Si je ne l'utilise plus vraiment depuis un paquet d'années je ne me suis jamais résolue à le jeter. Je l'ai gardé dans un premier temps me disant qu'il pourrait protéger un objet fragile à l'occasion d'un déplacement ou, sait-on jamais, d'un déménagement, mais il ne pouvait de toute façon plus servir en l'état.

 

Une fine couche de mousse, que l'on devine par transparence à certains endroits, recouvre le molleton  à l'intérieur. Elle tendait à s'échapper par les trous à chaque lavage. 


Sur une de mes étagères à tissus restait la housse de couette turquoise de quand-que-j'avais-l'âge-de-la-douce. En meilleur état que l'autre, qui avait le mérite d'une dominante mooove, elle n'en est pas moins inutilisable.


Je préférais donc l'autre, et je pense que ma mère a jonglé plus d'une fois pour la laver le matin, la repasser et la remettre le soir-même, mais je me souviens que j'étais toujours agréablement surprise du rendu quand ma couette était glissée dans celle-ci.
Comme au printemps dernier j'ai découpé le sac de couchage pour ôter fermeture à glissière et parties élimées, puis je l'ai ajusté aux dimensions de la housse de couette car, contrairement à celui de la douce, il était plus large. J'ai également coupé la partie élimée de la housse et le bas, dont je ne voulais pas, et transformé les surjets des côtés en coutures anglaises puisque, là aussi, l'imprimé était plus vif à l'intérieur.


Je l'ai cette fois molletonné à la machine, m'aidant des rayures du motif de l'une des faces pour coudre à peu près droit. Cette «nouvelle» couvrante aura probablement le même usage que l'autre – l'humidité peut s'installer, nous sommes parés ! –, à moins qu'elle ne protège le futon, en alternance avec le boutis blanc (dont je préfère cependant le rendu).