Jusqu'ici je n'en avais cousu que de petites, utilisées en guise de boutons, comme sur ce manteau qui a largement fait son temps mais dont ma Demoiselle refuse absolument de se séparer (les enjolivures de la manche masquent une brûlure de cigarette – ne jamais passer aux abords d'un lycée à l'heure de la pause – et un papillon dans le dos cache un accroc)…
Peut-être en raison des maladresses dues aux premières fois je me suis trouvée à court de fil rouge pour ces fleurettes-ci, au moins trois fois plus grosses que celles dont j'ai l'habitude. Les deux noires sont de tailles différentes et plus dodues que la rouge. Je n'aurais en outre pas dû les fixer à l'épingle avec l'aiguillée qui m'a servi à les «saucissonner». Last but not least, mon mannequin préféré me dira tout à l'heure si elles ont été montées en mode gauchère ou pas. À revoir, donc…
2 commentaires:
Well well well… fort bien fait. J'imagne. On verra bien si tu te fais sermonner par la progéniture...
Ben non, la Toute Belle me confirme que je l'ai montée à l'envers…
Pluka r'commencer.
Enregistrer un commentaire